
Assez gros fabliau, est le sous-titre ! Gros par le nombre de pages, 362, plus gros encore par le ton égrillard qui doit son tribut à Rabelais, Marot, à son auteur, prompt à livrer ses personnages aux ripailles arrosées, aux parties gaillardes avec les ribaudes, parfois avec d’innocentes bergères. Ne […]